La descendance d’Antoine Dagbert à Wacquinghen, Beuvrequen et Offrethun
Antoine Dagbert
(signe Dagbert et non Dacbert comme ses deux frères), fils de Louis et
Louise Rossignol, né à Leubringhen en 1721 est probablement celui qui
signe comme témoin au décès de Pierre Long, 38 ans, et de Catherine
Forestier, 46 ans, en 1741 à Beuvrequen. En 1750, il est journalier à
Wacquinghen quand il épouse à Beuvrequen Marie Louise Langlois, fille de Henri et Poline Lattaignant, aussi de Wacquinghen (Acte
de mariage filiatif. Les témoins cités sont Antoine Visse, Louis
Jacques Framery, peut-être le futur beau-frère de l’époux à cause de
Marie Jeanne Dagbert, Jean Baptiste Grolet? et Jean Bonvoisin.
Signatures des époux. Signature de Louis Jacques Framery, J. B.
Grolet?, J. Bonvoisin et Marie Françoise Guerlain. probablement
la belle-sœur de l'épouse. Marque d'Antoine Visse). Geneanet
jbd donne une naissance de Marie Louise en 1723 à Wacquinghen, fille de
Henri Jacques Langlois, garde-chasse originaire de Baromesnil en Haute
Normandie et Apolline Lattaignant de Wimille. Dans le forum de
discussion gennpdc, le même auteur, J.B. Delattre, rapporte un contrat
de mariage passé en 1752 à Hydrequent entre Pierre Bernamont et Marie
Antoinette Langlois, la sœur de Marie Louise, veuve de Louis Duwast,
fille de Henry Langlois et d'Apoline Lattaignant : Antoine Dacquebert y
est témoin avec Charles Henry Langlois, frère de la contractante, Marie
Françoise Guerlain, sa femme et Antoine Langlois, un autre frère.
Le couple Dagbert-Langlois continue de résider à Wacquinghen mais pour
une courte période puisque Marie Louise s’éteint dès 1753, à 32 ans (elle
est inhumée en présence de son mari, de Louis Dacbert, probablement son
beau-frère et de Henry Langlois, probablement son père). On
retrouve Antoine en 1764 quand il témoigne au mariage de son frère
Bernard. C’est aussi vraisemblablement lui qui en 1766 se remarie à
Maninghen-Henne avec Marie Louise Cotte (Acte
de mariage malheureusement non filiatif. Il n’est pas fait mention du
précédent mariage d’Antoine. Le contractant, Antoine Daguebert, est de
Wacquinghen et la contractante de Maninghen-Henne. Tous les témoins
cités sont de Wacquinghen : François Delbart et son fils François,
Marie Jeanne Delbart, Jean Delattre et Fabien? Parmentier. Signature de
l’époux comme antoine dagbert et marque de l’épouse. Signatures de
françois Delbarre, françois Delbarre. marijenne delbarre, delattre.
Marque de Fabien? parmentier et de louis noël am. Selon
geneanet jbd, les Delbart ou Delbarre sont une famille de fermiers de
Wacquinghen sans lien familial apparent avec les Dagbert. François, le
père, a épousé Anne Penel à Wacquinghen en 1720. Marie Jeanne ou Marie
Anne est sa fille, sœur de Louis François. Jean Marie Delattre est
peut-être son beau-fils, époux de Marie Antoinette Delbarre. Antoine
est témoin en 1771 à Wacquinghen du mariage de Jean Marie Chochois fils
de Jean Claude et Marie barbe Delbar avec Marie Jeanne Delbare fils de
Jean Jacques et Marie Antoinette Turbin, tous deux d’une autre branche
des Delbarre). À ce jour, on ignore l’ascendance de Marie
Louise. Le couple Dagbert-Cotte reste à Wacquinghen où Antoine est
propriétaire (1769) puis manouvrier (1775). Il s’éteint à Offrethun en
1799 à l’âge de 83ans (en réalité 78ans - avec pour témoins : Antoine Humez, tisserand, et Louis Mouton, journalier, des voisins). Son épouse, devenue Marie Louise Beuret, décède, elle aussi à Offrethun, en 1820, à 80 ans, environ (avec
pour témoins : Jean Louis Courtois, 54 ans, cultivateur, un voisin, et
le même Antoine Humez, environ 59 ans, tisserand à Offrethun).
Deux enfants naissent du premier mariage (Table 2). Antoine, baptisé à Wacquinghen en 1750 (avec
Antoine Langlois, probablement l’oncle maternel, comme parrain et Marie
Louise Dacbert, probablement la tante paternelle, comme marraine) ne survit qu’un peu plus de trois mois. Sa sœur cadette, Marie Jeanne Antoinette Dacbert, baptisée à Wacquinghen en 1752 (avec Bernard Dacbert, l’oncle paternel, comme parrain et Marie Antoinette Lelièvre, comme marraine) épouse en 1785 à Wacquinghen Marc Joseph Lagaize, maître vitrier à Boulogne St-Joseph, fils de feu Marc Laguaize et Marie Jeanne Anquier (Acte
de mariage filiatif. Les témoins cités sont Louis Marie Lefebvre,
demi-frère de l'époux, Jean Louis Henry Leclercq, curateur de l'époux,
Antoine Dacbert, père de l'épouse et Bernard Dacbert, son oncle.
Signature de l'époux comme Lagaize et l'épouse comme Marie Jenne
Dacbert. Signatures d'Antoine Dacbert, Bernard Dacbert, Lefebvre,
Leclercq et Framery, probablement Louis Jacques Framery, bel-oncle
paternel de l'épouse). Geneanet vlecuyer a retracé la
naissance de Marc à Rety en 1765, fils de Jean Louis Marc Laguaise
marié en 1763 à Wimille avec Marie Jeanne Anquier. Il aurait donc
seulement 20ans alors que son épouse en a déjà 33. Le couple
Lagaize-Dacbert réside d’abord à Boulogne (1786), puis Wacquinghen où
Marc est propriétaire (1788, 1792, 1795). En 1789, il est cosignataire
du cahier de doléances de Wacquinghen. Entre 1800 et 1807, il est maire
de Wacquinghen. En 1805, il y est cultivateur quand il témoigne au
décès de sa tante par alliance Marie Jeanne Dagbert et de son oncle par
alliance Bernard Dagbert. Il décède à 50ans, en 1814, cultivateur à
Wacquinghen (avec Pierre Antoine Ferasmus, 43 ans, propriétaire cultivateur et François Nacry, 48 ans, jardinier, comme témoins).
Marie Jeanne Dacbert, son épouse, s’éteint beaucoup plus tard, en 1842,
à 92ans (en fait 90ans), « cultivatrice » à Wacquinghen (avec François Blondel, 51 ans, berger et Constant Volant, 63 ans, ménager, des voisins, comme témoins).
Le couple Lagaize-Dagbert aura eu cinq enfants. L’aînée, Marie Jeanne Antoinette Noel Lagaize,
est baptisée le jour de Noel 1786 à Boulogne St-Joseph avec Bernard
Dacbert, laboureur à Wacquinghen, grand-oncle de l'enfant du côté
maternel comme parrain et Marie Madeleine Lagaize, veuve de Joseph
Brebion de St Martin, comme marraine. En 1818, elle épouse à
Wacquinghen Louis Marie Joseph Potterie, cultivateur de 27ans à Samer, fils des défunts Louis Marie Delapotterie et Marie Madeleine Augustine Ousselin (Les
témoins sont Joseph Lagaize, 22ans, frère de l'épouse, Pierre Antoine
Ferasmus, 46ans, Charles Regnault, 26ans, tous trois de Wacquinghen et
François Manier, 45ans, de Maninghen. Les époux et les témoins signent)
avec descendance Potterie à Samer où ils décèdent, lui à 67ans, en 1858
et elle à 76ans, en 1863, dans leur propriété du hameau de Bellozanne.
Suit Marc Joseph, né à Wacquinghen et baptisé à Beuvrequen en 1788 (avec Louis Jacques Framery, grand-oncle comme parrain et Marie Jeanne Antoinette Bonningue, grande tante, comme marraine) mais qui décède à Wacquinghen dès 1793, à seulement 5ans (avec Pierre Joseph Butor, 43 ans, cultivateur et Jean Louis Delbarre, 29 ans, cultivateur, comme témoins).
Suit Louis Pierre baptisé à Wacquinghen en 1792 (avec Jean Pierre François Leclerc, cousin, comme parrain et Elisabeth Butor, jeune fille de la paroisse, comme marraine) et dont ignore la destinée (il n’est plus avec sa mère et ses frères cadet dans le recensement de 1820 à Wacquinghen).
Suit un deuxième Marc Joseph Lagaize, né à Wacquinghen en 1795 (avec
Jean Charles Butor, 21 ans, cultivateur et Marie Françoise Ansselin qui
signe Ousselin, 27 ans, tous deux de Wacquinghen, comme témoins).
En 1825, à 25ans, il est cultivateur chez sa mère à Wacquinghen. Il y
est toujours cultivateur en 1843, à 48ans, quand il y épouse Félicité Sergent, 30ans, sans profession à Wacquinghen, fille de feu Noel Sergent et Félicité Doutriaux, ménagère à Wacquinghen (Les
témoins sont Louis Marie Joseph Potterie, 25ans, cultivateur à Samer,
neveu par alliance de l'époux, François Joseph Fasquel, 29ans,
instituteur à Maninghen, son ami, Joseph Sergent, 43ans, tailleur de
pierres à Ferques, germain de l'épouse. Signatures des époux, de la
mère de l'épouse et des témoins. Signature Létendart) avec descendance Lagaize à Wacquinghen où Marc Joseph s’éteint en 1866, à 72ans, cultivateur (Les
témoins sont Joseph Fasquel, 53ans, garde champêtre et Joseph Dacbert,
25ans, maître maçon, qui appartient à une des branches de la famille
des Dagbert d’Audinghen avec plusieurs représentants à Wacquinghen à
cette époque).
Le dernier enfant du couple Lagaize-Dacbert est Augustin Joseph Lagaize, né à Wacquinghen en 1797 (avec
pour témoins, Augustin Lorge, 54ans, cultivateur à Wacquinghen et Marie
Ursule Adelaïde Caux, 34 ans, femme de Louis Marie Lefebvre, marchand
en haute ville de Boulogne). En 1820, il est cultivateur de
23ans chez sa mère Marie Jeanne et avec son frère Marc. En 1833, à
36ans, toujours cultivateur à Wacquinghen, il épouse à Audinghen Mélanie Habart, 32ans, cultivatrice, fille d'Antoine Habart, cultivateur, et Marie Jeanne Chrétien (Les
témoins sont Joseph Lagaize, 38ans, cultivateur à Wacquinghen, frère de
l'époux, Louis Ferasmus, 23ans, cultivateur à Wacquinghen, son ami,
Marc Habart, 27ans, cultivateur à Audinghen, frère de l'épouse et Marc
Ohier, 49ans, instituteur à Audinghen, son ami. Signatures des époux et
des témoins. La mère de l'épouse, Marie Jeanne Dacbert, donne son
consentement par acte notarié chez Me Broutta à Marquise) avec là aussi une descendance Lagaize à Wacquinghen où Augustin s’éteint en 1864, rentier de 67ans (Les
témoin sont Pierre Dacbert, 74 ans, cabaretier, lui aussi de la branche
des Dagbert d’Audinghen à Wacquinghen et Charles Deguines, 50ans,
jardinier, des voisins). On peut remarquer que quatre
générations après le couple original de Vincent Dagbert et Antoinette
de Habart, on revient à une alliance entre les deux familles : Augustin
Lagaize est l’arrière-arrière-petit-fils d’Antoinette de Habart tandis
que Mélanie est l’arrière-arrière-petite fille de Pierre de Habart,
époux d’Antoinette Guerlain et frère d’Antoinette de Habart (en
passant par les couples de Marc Antoine Habart et Marie Jeanne
Chrétien, Pierre Habart et Louise Hubin, Pierre Habart et Marie Latteux
et finalement Pierre de Habart et Antoinette Guerlain selon geneanet
vlecuyer et michelegrard1).
Quatre enfants naissent du deuxième mariage (Table 2). L’aînée, Marie Louise Antoinette Dacbert, est baptisée à Wacquinghen en 1766 (avec
Louis François Delbarre, déjà témoin au mariage de 1766, comme parrain
et Marie Louise Dacbert qui signe marijenne dacbert, probablement une
tante paternelle, comme marraine). Elle y décède célibataire a 26ans, en 1792 (avec son père Antoine Dacbert et son oncle Bernard Dacbert comme témoins).
Suit Antoine Anselme Dacbert, baptisé à Wacquinghen en 1769 (Louis
Dagbert, l’oncle de Beuvrequen est le parrain et Marie Jeanne
Bonningue, femme de Bernard Dagbert de Wacquinghen et donc la tante
paternelle par alliance, est la marraine). Lui aussi y décède
célibataire, à 36ans, domestique chez Marc Lagaize, probablement son
beau-frère par alliance, alors maire (Augustin Lorge et François Plé sont les témoins).
Suit Marie Victoire Dacbert, baptisée à Wacquinghen en 1771 (Le
parrain est Jacques Framery, vraisemblablement l'oncle par alliance
époux de Marie Jeanne Dacbert, et la marraine, Marie Jeanne Delbart,
déjà témoin au mariage de 1766 avec son père et son frère).
C’est vraisemblablement la Marie Victoire Dacbert, 21 ans, domiciliée à
Wacquinghen, témoin à la naissance de Jacques Fourier, fils de Jacques
Fourier, berger à Wacquinghen et Marie Augustine Duhen, en 1794 à
Wacquinghen. Dix ans plus tard, en 1804, elle est journalière
célibataire à Offrethun quand elle donne naissance à des jumelles chez
François Delaviez, 54 ans, journalier à Offrethun : ce sont Marie
Catherine Victoire (les témoins sont Hubert Augustin Selingue, 23 ans, cultivateur à Offrethun et Christophe Delaviez, 47 ans, voiturier) et Joséphine Marie (les témoins sont Jean Wargnier, 39 ans, et Joseph Lelièvre, 23 ans, tous deux cultivateurs à Offrethun). En 1813, ménagère à Offrethun, elle donne naissance à un troisième enfant naturel, Jean Baptiste Dacbert (naissance
dans la maison de Magdeleine Dachicourt, 64 ans, ménagère avec témoins
: Antoine Humez, 53 ans, tisserand et Louis Mouton, 47 ans, instituteur
à Beuvrequen) qui mourra célibataire et sans profession à Ambleteuse, en 1868, à 54ans, (Eugène Barthélémy, 65 ans, ménager et Jean Claude Barthélémy, 63 ans, manouvrier, tous deux d'Ambleteuse, sont les témoins).
Marie Victoire Dacbert s’éteint ménagère et toujours célibataire, à
Wacquinghen, en 1846, à 72 ans (en fait 75ans), ménagère, née et
domiciliée à Wacquinghen, fille des défunts Antoine Dacbert et Marie
Louise Buret et non Cotte (avec pour témoins : Moïse Dacbert, 43
ans, maçon, de la branche des Dagbert d’Audinghen à Wacquinghen et
Constant Volant, 67 ans, ménager, des voisins). C’est à cette époque que les jumelles de 1804 se marient. La première à le faire est Joséphine Marie Dacbert, domestique à Beuvrequen en 1845 qui y épouse Marc Frédéric Lejeune,
domestique à Wimille, 32ans, originaire d’Ambleteuse, fils de Jean
Baptiste Lejeune, maçon et Rosalie Langlois, ménagère, à Ambleteuse (Les
témoins sont Bernard Dubois, 25 ans, instituteur communal à Beuvrequen
et Antoine Carré, 44 ans, cultivateur, amis de l'époux; Joseph Deneux,
28 ans, et Hyacinte Deneux, 22 ans, maréchaux ferrants à Beuvrequen et
amis de l'épouse. Signatures du père de l'époux et des témoins. Les
époux et leur mère ne signent pas) sans descendance connue. Marie Joséphine s’éteint à 57ans en 1863, ménagère à Ambleteuse où Frédéric est manouvrier (avec Eugène Barthélémy, 58 ans, ménager et Jean Claude Barthélémy, 59 ans, manouvrier comme témoins). Son mari, Frédéric, décède en 1883, à 70ans, manouvrier à Ambleteuse, au lieu-dit du Ruisseau des Racques (avec pour témoins : Eugène Duriez, 47ans, manouvrier et François desseille, 72ans, garde champêtre). La sœur jumelle de Joséphine, Marie Catherine Victoire Dacbert est domestique à Bazinghen en 1848 quand elle épouse à Ambleteuse François Joseph Sauvage,
ménager de 48ans à Ambleteuse, fils des défunts Marc Sauvage et Marie
Françoise Lefebvre, veuf en premières noces d'Adélaïde Malfoy, décédée
à Ambleteuse en 1836, et en deuxièmes noces de Marie Catherine
Augustine Gressier, décédée à Ambleteuse en 1845 (Les témoins
sont Jacques Sauvage, 44 ans, extracteur de pierres à Boulogne, frère
de l'époux, André Martel, 33 ans, perruquier à Boulogne, son
neveu, Marc Frédéric Lejeune, 35 ans, mineur? à Beuvrequen,
beau-frère de l'épouse et Frédéric Damiens, 34 ans, cultivateur à
Ambleteuse, son ami . Signatures des témoins Martel et Damiens. Les
époux et les témoins Sauvage et Lejeune ne signent pas) sans
descendance connue. Après le décès de François Joseph dans sa demeure
au hameau de Raventhun en 1858, à 62ans (en fait 59ans). Marie
Catherine Victoire, alors domestique de 63ans à Beuvrequen, se remarie
en 1867 à Ferques avec Louis Courquin,
tailleur de pierres à Ferques de 56ans, fils de feu Jacques Courquin,
de son vivant manouvrier, et de Rosalie Delavier, 77 ans, ménagère à
Ferques, veuf de Marie Françoise Catherine Dutertre, ménagère, morte à
Ferques en 1863 (Les témoins sont Louis Bernard, 37 ans,
instituteur et Alexis Sauvage, 50 ans, carrier, amis de l'époux,
Charles Bette, 24 ans, tailleur de pierres et Louis Marie
Delattre, 26 ans, mineur, témoins de l'épouse, tous de Ferques.
Signatures de l'époux et des trois premiers témoins. L'épouse, la mère
de l'époux et le témoin Delattre ne signent pas). Après le décès de
Louis à Ferques en 1872, Marie Catherine Victoire est à Boulogne où
elle décède en 1887, à 83ans, sur la rue Wicardenne (Joseph Bourgeois,
75 ans, cordonnier et Joseph Flahutez, 28 ans, journalier sont les
témoins)
Le quatrième et dernier enfant du couple Dagbert-Cotte alias Buret est Jean Marie Achille Dacbert, baptisé à Wacquinghen en 1775 (avec Jean Marie Achille Legrand comme parrain et Marie Jeanne Ducornoi comme marraine).
On le retrouve avec sa sœur Victoire et les trois enfants naturels de
cette dernière dans le recensement de 1820 à Offrethun. En 1823, il est
ménager de 47ans à Offrethun quand il y épouse Françoise Marie Joséphine Verdastine,
domestique de 32ans à Offrethun, originaire du hameau d’Ecottes à
Licques, fille des défunts François Jean Baptiste, dit de Feuille, et
Marie Marguerite Michaux (Les témoins sont Noël Chrétien, 53
ans, de Beuvrequen, germain de l'époux ; Joseph Marie Lagaise, 27 ans,
de Wacquinghen, neveu de l'époux; Charles Amédée de Cormette, 35 ans,
d'Offrethun, ancien capitaine de cavalerie, chevalier de l'ordre royal
et militaire de St louis et de la Légion d'Honneur ; Charles Louis
Augustin Bodart, 26 ans, instituteur à Offrethun. Signatures de l'époux
comme jean marie dacbert et des témoins. L'épouse ne signe pas).
Par la suite on perd la trace du couple (ils ne sont pas dans les
recensements de 1831 et 1836 à Offrethun) et on ignore s’ils ont une
descendance. Jean Marie décède à Marquise en 1848, à 72ans, veuf et
sans profession (chez Adolphe Lambré, 35ans, cafetier avec le même Lambré et Auguste Framery, 31ans, carrier, comme témoins).
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