La cinquième génération  :  les enfants de François Dacquebert et Jeanne Marmin

Là encore, selon FAB, François Dacquebert est le seul enfant de Marc et Michelle Haigneré avec une descendance connue importante dans la région d’Outreau (Table 2).

Jacques Dacquebert et Marie Fauchois et leur descendance à Outreau

Le fils aîné du couple Dacquebert-Marmin serait Jacques Dacquebert, né vers 1630, laboureur à Outreau. Il épouse, en 1655 Marie Fauchois, fille de Nicolas et Jacqueline Hamin (cm Vaillant du 09/02/1655 à Boulogne transcrit sur le site de Ludovic Ledieu à http://lledieu.org/ : Jacques est assisté de son père François Dacquebert, laboureur à Turbinghen à Outreau, de Jeanne Marmin, sa mère, de ses oncles Marcq et Jacques Dacquebert et de ses oncles Jean et Guillaume Marmin, ainsi que de son frère Pierre Dacquebert, cavalier. Marie Fauchois est assistée de Nicollas Fauchois et Jacqueline Hamain, ses père et mère, Jean Hamin, son grand père, Claude Hamain, son oncle, et Jean Duflos, mari d’Adrienne Hamin, sa tante). On peut trouver l’acte de baptême de Marie Fauchois dans les registres de 1632 de St-Etienne : les parents Nicolas Fauchois et Jacqueline Hamin résident à Isques, les parrains sont Antoine Bonningue bel-oncle paternel et Claude Hamin, oncle maternel et les marraines sont Jeanne Latuelt, grand-mère par alliance et Marie Marquion d'Isques. Les Fauchois sont une de ces familles boulonnaises n’ayant pas fait l’objet d’étude particulière de Daudruy (FAB) ou Vasseur (FG). Nicolas Fauchois et Jacqueline Hamin, les parents de Marie, se sont mariés en 1628 (cm Gillon du 24-05-1628 à Boulogne – FAB-Hamin, p. 586). Nicolas, laboureur à Outreau, est le fils d’Adrien Fauchois et  Madeleine Forestier, la sœur de Jean Forestier, premier mari d’Anne Marlart (voir section précédente), les parents de Jeanne Forestier, épouse de Jacques Dacquebert (voir prochaine section). Adrien Fauchois, alors laboureur à Maninghen à Outreau se remarie en 1629 (cm Hache du 17-01-1629 à Boulogne) avec Jeanne Laruelle (marraine de Marie). Jacqueline Hamin, la mère de Marie, est la fille de Jehan Hamin, laboureur à Equihen à Outreau puis à la Ferquennerie à Tardinghen (témoin au cm de 1655) et Jehenne Varlet (FAB-Hamin, p. 586). Les autres enfants du couple sont Apolline épouse d’Antoine de Bonningue (parrain de Marie), Adrienne épouse de Jehan Duflos (témoin au cm de 1655) et Claude, époux d’Antoinette Davault (aussi témoin au cm de 1655 et parrain de Marie).

Moins de trois ans après ce mariage, en 1658, Jacques ‘au lit et malade’ passe un testament devant le curé Neuville d’ Outreau (c. curé Neufville d’Outreau du 01-01-1658) dans lequel il demande que son fils François soit élevé chez ses grand parents François Dagbert et Jehanne Marmain jusqu'à l'âge de 15 ans (les détails de ce contrat sont également sur le site de Ludovic Ledieu : sont cités Marie Fauchois, sa femme, Guillaume Marmain, demeurant à la Verte Voie à Outreau, probablement l’oncle de Marie Fauchois; Pierre et Jehan Sauvage, maîtres de bateaux et Pierre Pont, marinier, tous du Portel). Il est fort vraisemblable que (1) le fils de Jacques dont il est question dans ce testament n’est pas François mais plutôt Jacques, le premier enfant du couple Dacquebert-Fauchois né vers 1656 (voir plus bas) (2) Jacques n’est finalement pas décédé dans les années suivant son testament puisque le couple Dacquebert-Fauchois a un deuxième enfant prénommé Jean inhumé à 16ans, en 1688, à St-Etienne (Témoins : Jacques Dacquebert, probablement son frère, et Marguerite Calais, femme de Claude Baubos, la belle-mère de Jacques) et donc né vers 1672. En 1682, Jacques est décédé et Marie est toujours vivante.

Jacques Dacquebert et Jeanne Beaubois et leur descendance

Le fils aîné du couple Dacquebert-Fauchois, Jacques Dacquebert, né vers 1626, épouse en 1682 à St-Etienne-au-Mont Jeanne Beaubois ou Beaubos, de cette paroisse, fille de Claude Beaubois, laboureur à St-Etienne et Marguerite (de) Calais (Acte de mariage filiatif. Pas de témoin cité. Signatures de Jacques Dacquebert et Jenne Beaubois, les époux. Marque de Thomas Dacquebert, oncle paternel de l’époux. Signature de Pierre Fauchois, oncle maternel de l’époux. Signature de Claude Beaubo, le père de l’épouse. Marque de Gabriel Bourdon, mari de la tante maternelle de l’épouse. Cm Du Sommerard à Boulogne du 26-01-1682  reproduit sur geneanet Euphroisine: Jacques Dacquebert, laboureur au village d'Outreau, fils de défunt Jacques Dacquebert et Marie Fauchois, assisté de Nicolas Dacquebert, laboureur au village de Wimille, son oncle du côté paternel, de Pierre Fauchois, laboureur au village d'Outreau, son oncle du côté maternel, de Jacques Marmin, laboureur à Outreau, son cousin issu de germain du côté paternel, de homme honorable Nicolas Grandsire de la basse ville, son bon ami. Jeanne Beaubois,  fille à marier, demeurant au village de St-Etienne, assistée de Claude Beaubois, laboureur, et Marguerite Calais, sa femme, demeurant au village de St-Etienne, ses père et mère, de Claude Beaubois, son frère, demeurant au village d'Ambleteuse?, de Gabriel Bourdon, maître charron à Pont-de-Brique, paroisse de St-Léonard, son oncle à cause d'Isabelle de Calais, sa femme. Signatures de Jacques Dacquebert et Jenne Beaubois, les mariants. Signatures de Nicollas Dacbert, Pierre Fauchois, Jacque Marmin et Grandsire, les témoins du mariant. Signature de Claude Beaubo et marque de Marguerite Calais, les parents de la mariante. Signature Beaubois, probablement Claude, son frère et marque de Gabriel Bourdon. Note : Jacques Marmin, cousin issu de germain du côté paternel de l'époux, pourrait être le fils de Guillaume Marmin, le frère de Jeanne épouse de François Dacquebert (voir section précédente)  et Jeanne Cauchie, qui épouse Marie Lecomte l'année suivante (FAB-Marmin, p.1539) mais ce n’est pas tout-à-fait un cousin puisqu’une génération les sépare)

Ce même Jacques est vraisemblablement le témoin du décès d’un autre frère, Jean, alors âgé de 16 ans à St Etienne en 1688 (Marguerite Calais, femme de Claude Beaubois, les beaux-parents de Jacques est le deuxième témoin de ce décès).

Le couple Dacquebert-Beaubois a au moins quatre enfants, tous baptisés à Outreau entre 1685 et 1689, avant le décès prématuré de Jacques, en 1688, à 32 ans, toujours à Outreau. Après ce décès, il semble que Jeanne Beaubois , sa veuve, soit retournée vivre à St-Etienne avec ses enfants. Elle s’éteint néanmoins à Outreau en 1743, à 84ans (avec Nicolas Deguinne , son gendre, et Nicolas Deguisne, son petit-fils comme témoin).

On retrouve dans les premiers registres de la paroisse d’Outreau disponibles, donc en 1685 et après, les actes des baptêmes de quatre enfants du couple Dacquebert-Beaubois. Certains auteurs geneanet (rien dans FAB ou FG)  y ajoutent une fille aînée prénommée Marie Jeanne qui serait née en 1683. Nous sommes plutôt d’avis que cette Marie Jeanne est la fille d’un des deux couples fondateurs de la branche principale des Dagbert d’Outreau soit celui de Guillaume Dacquebert et Marie Ledoux (voir nos arguments dans la section 4-2-1).

Marie Jacqueline Dacquebert est baptisée à Outreau en 1685 (Le parrain est Nicolas Lobet ou Lobel et la marraine Marie Fournier). En 1715, elle est de St-Etienne quand elle y épouse Nicolas De Guînes ou Deguisne, de la paroisse d'Outreau, fils de défunt Charles De Guînes et Marguerite Bernard (Acte de mariage filiatif. Pas de témoin cité. Signature de l'époux comme Nicolas Deguinne et marque de l'épouse. Marque de Jacque De Guînes et d'Antoine De Guînes. Signature d'Anthoine Deguisne. Marque de Robert Varlet. Signatures de Louis La Barre et Hierosme Bienaimé. Marque de Marguerite Bernard. probablement la mère de l'époux. Marque de Geneviève Beaubois  et signature de François Beaubois. Signatures de Louise Lebrun et Marie A. Bernard. Signature de B. Frohard  et F.M. Bernard, prêtre. Du côté de l’époux, selon FG-Deguisne, p.525, Nicolas est couvreur de paille à Outreau où il serait né vers 1673, le second enfant d’Edmond Charles Deguisne, maître maçon à Equihen et Marguerite Bernard, originaire d’Andres près de Guînes. Plusieurs de ses frères et sœurs (il y en aurait huit) ou leur conjoint sont témoins  au mariage de 1715 : Jacques Deguisne, l’aîné de la fratrie, époux de Marie Merlin de Dannes depuis 1707, Antoine Deguisne, laboureur et maçon à Outreau, futur époux de Marie Jeanne Sauvage en 1722 à Outreau, Louis Labarre de Verlincthun, époux de Marie Deguisne, la sœur de Nicolas, en 1706, Toujours selon FG-Deguisne, p.525, Edmond Charles, le père de Nicolas, est le fils de Charles Deguisne et Charles Fauchois. Il compte parmi ses six frères et sœurs ou leur conjoint d’autres témoins au mariage de 1715 : Antoine Deguisne laboureur et charpentier à St-Etienne, époux de Françoise Bigot depuis 1687 et Hierosme Bienaimé, laboureur et tonnelier à Outreau, époux d'Adrienne Deguisne, la tante de Nicolas, depuis 1688. Du côté de l’épouse, on note l’absence parmi les témoins de Jeanne Beaubois, toujours vivante en 1715. On trouve François Beaubois qui d’après sa signature pourrait être le  fils de Jean Beaubois et Françoise Delart d'Outreau qui épouse en 1722 à Wissant Marie Marguerite Ledoux, veuve de Jean Dacquebert de Wimille mais on ignore le lien entre ces Beaubois et ceux de la mère de l’épouse. Robert Varlet est probablement le laboureur à Honvault à Wimille, époux de défunte Louise Beaubois, la sœur de Jeanne. Quant à B. Frohard, il ou elle est probablement rattaché à la famille noble des De Frohard de Honvault à Wimille; Bernard de Frohard (1665-1732), escuier, a la plupart des enfants nés de son second mariage avec Marie Claude Charles baptisés à St-Etienne entre 1706 et 1722 mais ce n'est pas sa signature sur l'acte de 1715. On ne sait rien de Geneviève Beaubois - serait-ce plutôt Geneviève Dacquebert, la sœur de l’épouse? - Louise Lebrun et Marie A. Bernard)

Le couple Deguisne-Dacquebert reste au hameau d’Equihen à Outreau où Nicolas est couvreur de paille et où ils décèdent, elle en 1754, à 70ans (comme Marie Jacqueline Dagbert) et lui en 1757, à 84ans. On leur connaît sept enfants, six filles et un garçon, tous baptisés à Outreau entre 1717 et 1726. Trois des filles décèdent dans la vingtaine et célibataires : (1) l’aînée Marie Jeanne, baptisée en 1717 (Le parrain est Antoine Deguisne, peut-être le grand-oncle déjà témoin au mariage de 1715, alors veuf de Françoise Bigot et la marraine, Geneviève Dacquebert, probablement la tante maternelle) s’éteint à Outreau en 1738, à 21ans (les témoins sont son père Nicolas Deguisne et son cousin Claude Deguisne, probablement le fils de Jean et de Nicole Bernard, maître maçon à Outreau et époux de  Marguerite Herbet – voir FG-Deguisne, p. 523) (2) Marie Jacqueline, baptisée en 1718 (P. : Charles Deguisne, peut-être l’oncle paternel et plus jeune frère de Nicolas M. : Marie Beaubois) et décédée à Outreau à environ 16ans en 1733. (3) Marie Geneviève baptisée en 1720 (P. : Jacques Volant, probablement et d’après sa signature, le fils de Louis, laboureur à Equihen, et Marie Legrand qui épousera Anne Blanpain en 1724 à Outreau où il sera tisserand. M. : Marguerite Deguisne, peut-être la tante paternelle) et décédée à Outreau en 1743 à 22ans (Témoins : son père Nicolas et son oncle Charles Deguisne).

Trois autres des filles du couple Deguisne-Dacquebert se marient. La première à le faire est Marie Marguerite Deguisne, baptisée en 1719 (P. : Antoine Deguisne, probablement un de ses trois oncles paternels avec ce prénom. M. : Marie Degardin) qui se marie à 25ans, en 1743 à Outreau avec Jean Bigot, valet de charrue de 31ans originaire de Condette, fils de Sébastien Bigot et Marie Condette (Acte de mariage partiellement filiatif à cause de l'identité des témoins. Ces témoins cités sont Nicolas Deguisne, père de l'épouse et Nicolas Deguisne, son frère, Sébastien Bigot, père de l'époux et Antoine Bigot son frère. Marques des époux et des témoins sauf le père de l'épouse qui signe) avec descendance Bigot à Outreau (7 enfants entre 1744 et 1752 dont des jumeaux) où Jean devient cabaretier et où il décède à seulement 33 ans en 1752 (Témoins : son beau-père et son beau-frère, tous les deux  Nicolas Deguisne). Marie Marguerite se remarie à Outreau la même année 1752 avec  François Blanpain ou Blampain, maçon à Outreau, fils des défunts Antoine et Adrienne Coppin (Acte de mariage filiatif pour l'époux. Veuvage de l'épouse mentionné. Les témoins cités sont Antoine et François Blanpain, couvreurs de paille, frères de l'époux, Antoine Gournay et Pierre Fauchois, ses beaux-frères ainsi que Nicolas Deguisne, le frère de l'épouse. Signature de l'époux et marque de l'épouse. Marques de François Blanpain, Pierre Gournay et Nicolas Deguisne. Signature Fauchois et de Jean Libert, probablement l'époux d'Anne Blanpain, ls sœur de l'époux. Dispense d'affinité spirituelle ou de compaternité dans la mesure où François Blanpain est le parrain de Marie Marguerite Bigot, fille de Marie Marguerite et Jean Bigot en 1746) avec descendance Blanpain à Outreau (3 enfants nés entre 1754 et 1759) où  François est maçon et où ils décèdent, elle en 1760, à 40ans environ, et lui en 1778, à 60ans environ, ancien couvreur de paille.

La deuxième fille du couple Deguisne-Dacquebert qui se marie est Marie Françoise Deguisne, baptisée en 1722 (P. : Jean François Delattre. M. : Marie Herbez). En 1753, elle épouse François Daguebert , journalier à Outreau, fils de François Daguebert, tisserand à Outreau, et Marie Sergeant  de la branche principale cadette des Dagbert d’Outreau décrite dans la section 4-2-6 de ce texte (Acte de mariage filiatif. Les témoins cités sont François Daguebert, père du contractant, Louis Marie Daguebert, son frère, Nicolas Deguisne, frère de la contractante et François Blanpain, son beau-frère. Les contractants, leurs pères et frères laissent leur marque. Seul le quatrième témoin signe. Dispense du 4e degré de consanguinité ce qui confirme un lien entre les Dacquebert de la branche historique des Dacquebert d’Outreau représentés par Marie Françoise et les Daguebert ou Dagbert de la branche principale représentés par François). L’ascendance de François et la descendance du couple sont présentés dans la section 4-2-6. Marie Françoise décède dans sa maison au hameau d’Equihen à Outreau en 1793 à 75ans environ (déclaré par Augustine Daguebert, femme de Michel Ducrocq, 39 ans et  Louis Dagbert, 64ans, probablement son beau-frère). François, alors ménager de 78ans à Equihen, s’éteint au même endroit, en 1799 (déclaré par Louis Marie Fournier, 55ans, marin, son beau-fils et Jean Louis Dagbert, 35ans, marin, son neveu).

Marie Louise Deguisne, baptisée en 1724 (P. : Louis Labarre, probablement l’oncle paternel déjà témoin au mariage de 1715. M. : Marie Marguerite Monard) est la dernière fille du couple Deguisne-Dacquebert à se marier, après la mort de son père, en 1758 à Outreau avec Etienne Justin, fils de feu Jacques et Anne Watel (Acte de mariage filiatif. Les témoins cités sont Charles Nicolas Justin, frère consanguin de l'époux, Louis Marie Leulliette, son cousin germain, Pierre François Davault de Thien, ami de l'épouse  et Jacques Deguisne, cousin germain de l'épouse. Marques des époux. Signatures des témoins Justin et Davault de Thien. Marques des témoins Leulliette et Deguisne. Note : Jacques Deguine est probablement le fils d’Antoine, le frère cadet de Nicolas, et Marie Jeanne Sauvage, laboureur à Outreau et époux en 1740 de Marie Marguerite Loeuillette – voir FG-Deguisne, p. 527 ). Geneanet vlecuyer a retracé l’acte de baptême d’Etienne en 1730 à Frencq ainsi que le mariage de son père Jacques à St-Etienne en 1729 (Jacques est de Lefaux, secours de Camiers, entre Frencq et Etaples et Anne Watel de St-Etienne). Il pense que c’est le même Jacques Justin qui épouse en premières noces Marie Jeanne Dumont à Cormont en 1727 avec deux enfants dont son demi-frère Charles Nicolas, témoin au mariage de 1758. Bien que les actes de ces deux mariages ne soient pas filiatifs, il fait de Jacques le fils du laboureur Guillaume Justin et Barbe Queval de Lefaux, baptisé en 1691. Le couple Justin-Deguisne n’a pas de descendance connue, du moins à Outreau. Marie Louise s’éteint  peu de temps après son mariage, en 1762, à 38ans. Etienne alors manouvrier à Outreau, s’y remarie la même année avec Marie Angélique Sauvage (FG-Deguisne, p.526), fille de feu Pierre Sauvage, laboureur, et Marie Anne Antoinette Loeuillette avec descendance Justin à Outreau, pratiquement jusqu’au décès d’Etienne, laboureur, en 1780, à 56ans (en fait 50ans).

Nicolas Deguisne, dernier né du couple Deguisne-Dacquebert et seul garçon de la fratrie, est baptisé à Outreau en 1726 (P.: Nicolas Bienaimé. M. : Elizabeth Bernard). On le retrouve témoin de plusieurs événements familiaux, souvent accompagnant son père : décès de sa grand-mère Jeanne Beaubois en 1743, premier mariage de sa sœur Marie Marguerite en 1743 et décès de son premier mari, Jean Bigot, en 1752. deuxième mariage de sa sœur Marie Marguerite en 1752 à Outreau (il est alors qualifié de laboureur). mariage de sa sœur Marie Françoise avec François Daguebert en 1753. Par contre, il n’est pas témoin au mariage de sa sœur Marie Louise avec Etienne Justin en 1758 à Outreau. On pense qu’il est resté célibataire. Il n’apparaît pas dans le registre des sépultures d’Outreau après 1753.

La sœur cadette de Marie Jacqueline, Geneviève Dacquebert est baptisée à Outreau en 1686 (P.: François Dacquebert qui signe Dacbert, peut-être le cousin de son père fils de Nicolas qui épouse Antoinette Wattebled à Boulogne en 1688 d’après cette signature. M.: Geneviève Bourdon, probablement la cousine de la mère, fille de Gabriel Bourdon, déjà témoin au mariage de 1682, maître-charron à St-Leonard et Isabelle de Calais). C’est probablement la marraine de sa nièce Marie Jeanne Deguisne en 1717 à Outreau. Elle s’éteint célibataire en 1720 à Outreau. Les deux autres enfants du couple Dacquebert-Beaubois ne sont connus que par leur acte de naissance : Marie Madeleine, baptisée en 1688 (P.: Jean Detrée Dafringue. M.: Marie Magdeleine Manidren) et Jacques, baptisé en 1689 après le décès de son père (P.: Jacques Longueville avec la marque de Jacques Beaubois. M.: Marie de Montehuy)

Les autres enfants de François Dacquebert et Jeanne Marmin

Selon FAB-Dacquebert, p. 304, Pierre Dacquebert, lui aussi laboureur à Outreau, fils de François et Jeanne Marmin et frère de Jacques, épouse en 1662 à Maninghen Jacqueline Troussel (Acte partiellement filiatif à cause des témoins cités. Pierre Dagbert ou Dacbert est de la paroisse d'Outreau et Jacqueline Troussel de celle de Maninghen. Les témoins cités sont Valentin Troussel, père de la contractante et Pierre, Marcq et Jacques Troussel, ses frères, Jean Leliepvre, son oncle ainsi que Jacques Dagbert, frère dudit Pierre. Marque des contractants. Signature de Valentin Troussel, Nicolas Dacbert et Jacques Troussel. Cm Vaillant du 28-12-1661 à Boulogne avec comme témoins pour lui, Jacques, Nicolas, Philippe et François Dacquebert, ses frères et Thomas Dacquebert, son oncle). Selon FG-Troussel, p.2054, Jacqueline est la fille de Valentin Troussel, maître maréchal à Maninghen, et Jeanne Leliepvre.  On pense que le couple Dacquebert-Troussel réside à Outreau après leur mariage dans la mesure où on ne retrouve pas dans les actes de baptêmes de Maninghen celui du seul enfant connu du couple, une fille prénommée Barbe qui d’après son âge sur son acte de sépulture, serait née vers 1663. L’absence d’autres enfants connus laisse penser que Pierre, le père, serait décédé  peu de temps après et que son épouse et sa fille seraient retournés à Maninghen après son décès. De fait Pierre est absent lors du mariage de sa fille  en 1700 qui comme le suivant en 1701 a lieu à Maninghen mais pas à Outreau. C’est aussi à Maninghen que la mère, Jacqueline Troussel, s’éteint, veuve à 95ans, en 1721 (le témoin cité est son neveu Marc Antoine Lemattre, probablement le fils de Pierre Lemattre, laboureur et maître maréchal à Olincthun à Wimille, et Marie Troussel – voir FG-Troussel, p. 2055).

Selon FAB-Dacquebert, p.304, Barbe Dacquebert, fille de Pierre et Jacqueline Troussel épouse en 1700 à Maninghen, Jean Lorgnier, laboureur à Maninghen, fils de feu Baudrain Lorgnier et de Marie Troussel. Selon Parenty & Lorge, ‘Gentilshommes et laboureurs du Boulonnais’- Lorgnier, p. 253, la mère de Jean qui serait né vers 1665 est plutôt Péronne Battel (Acte non filiatif. Les époux sont de la paroisse de Maninghen. Témoins cités : François Lorgnier, probablement l’oncle paternel de l’époux, Ansel Batel et Jacqueline Troussel, probablement la mère de l'épouse. Marque de l'époux et signature de l'épouse comme Barbe Dacbert. Signature du témoin Batel et marques des témoins Lorgnier et Troussel. Cm de Lattaignant du 03-07-1700 à Boulogne qui selon FAB-Dacquebert, p. 305 mentionne Anne Dacquebert comme tante paternelle de Barbe) sans descendance car Jean s’éteint à Maninghen en 1700, seulement quelques mois après son mariage. Toujours selon FAB-Dacquebert, p. 304, Barbe Dacquebert se remarie en 1701 à Maninghen avec Jean Rougegré ou Rougegrez, laboureur à Hennes, fils des défunts Pierre et Madeleine Clipet (Acte de mariage non filiatif. Veuvage de l'épouse non mentionné. Les époux sont de la paroisse de Maninghen. Les témoins cités sont Pierre Compienne ou Compiegne et Magdeleine Rougegré, probablement le beau-frère de l’époux et son épouse, ainsi que Jacqueline Troussel, probablement la mère de l'épouse, Philippe de Menneville, Antoine Routier et Marc Comtois. Signatures des époux  comme Jean Rougegrez et Barbe Dacbert, et des témoins Compienne, de Mennevile, Routier et Comtois. Marques des témoins Rougegré et Troussel. Cm de Lattaignant du 18-02-1701 à Boulogne). Ce mariage est aussi rapporté dans FG-Rougegrez, p.1872 qui donne des détails sur l’ascendance et la fratrie de Jean. On notera que deux semaines après son mariage, Barbe signe comme marraine au baptême à Maninghen de Jacques Compiegne, fils de Jacques et Françoise Rougegrez, une autres sœur de Jean (Pierre Compiegne, le frère de Jacques, est le parrain). Le couple Rougegrez-Dacquebert est d’abord à Maninghen où est baptisé un fils prénommé Jean en 1703 puis à Henneveux où ils sont propriétaires fermiers et où Barbe, son épouse, s’éteint en 1731, à 68ans. Jean décède en 1743 à Alincthun, la paroisse voisine d’Henneveux, propriétaire de 79ans.

Leur seul fils connu, Jean Rougegrez, baptisé à Maninghen en 1703 (Le parrain est Marcq Rougegret de la paroisse d'Hydrequent, probablement l'oncle paternel, et la marraine, Marie  Dacquebert qui signe Dacbert) se marie lui-aussi deux fois. D’abord comme propriétaire à Henneveux, il épouse à Alincthun en 1731 Marie Louise Delrue, fille des feux Anthoine et Louise Lheureux, propriétaires à Alincthun (Acte de mariage filiatif. Le contractant est de la paroisse d'Henneveux et la contractante de celle d'Alincthun. Pas de témoins cités. Signatures de la contractante, de Jean Rougegrez, deux fois, probablement le contractant et son père, Jean Lheureux?, Jean Baptiste Leroux et Marie Dacbert, probablement la marraine du contractant d'après la signature) avec une fille prénommée Marie Louise baptisée à Alincthun en 1732 (P. : Jacques Compiegne. M. : Marie Jeanne Bodain  de la paroisse d'Alincthun) qui décède à Henneveux en 1735. Malheureusement, Marie Louise Delrue s’éteint à Alincthun la même année 1732, quelques mois après cette naissance. Jean  se remarie en 1734 à Bournonville, secours d’Henneveux, avec Marie Marguerite Noel, fille de Pierre Noel et Antoinette Quiertant de Brunembert (Acte de mariage filiatif. Le contractant est de la paroisse de Bournonville-Henneveux et la contractante de celle de Brunembert. Pas de témoin cité. Signatures des contractants, de Jacques Compiegne, Jean Noel, peut-être le frère de la contractante, Marie Letendard et Françoise Delattre) avec deux enfants, le premier Jean Marie baptisé en 1735 à Henneveux (P. : Philippe Ousselin ou Asselin M. : Marie Jeanne Compiegne) et le second Jean Pierre baptisé en 1736 à Alincthun suite à l’absence du curé d’Henneveux-Bournonville qui s’en plaint amèrement (P. : Pierre Gillet de la paroisse d'Alincthun. M. : Marie Jeanne Henon, de celle d'Henneveux). Ce deuxième enfant est d’ailleurs posthume pour le père puisque celui-ci s’éteint quelques mois plus tôt en 1736, à 33ans, marguillier de l’église d’Henneveux. Marie Marguerite sa veuve qui a alors 25ans se remarie en 1738 à Henneveux avec Jean Levecque, 29ans, laboureur à Alincthun. L’aîné des deux fils, Jean Marie Rougegrez est laboureur propriétaire de 25ans à Crémarest en 1760 quand il épouse à Questrecques Marie Rose Claudine Allan, 24ans, fille de Bertrand Allan et Marie Louise Le Mattre, laboureur propriétaire à Questrecques (Acte de mariage filiatif. Le contractant est de la paroisse de Crémarest et la contractante de celle de Questrecques. Les témoins cités sont Jean Levecque, beau-père et tuteur du contractant, Pierre Noel, son grand-père, Bertrand Allan, père de la contractante et Jean Louis Allan, son frère?. Signatures des contractants et des témoins) avec descendance Rougegrez à Crémarest et Questrecques où s’éteint Marie Marguerite Noel, la mère de Jean Marie, en 1777 à 65ans (son fils Jean Marie et son frère Pierre Noel sont les témoins). Les époux Rougegrez-Allan s’éteignent au hameau de la Commune à Wimille, elle en 1798 à 63ans et lui en 1801, cultivateur de 68ans.

Selon FAB-Dacquebert, p. 304, Nicolas Dacquebert, lui aussi laboureur à Outreau, fils de feu François et Jeanne Marmin et frère de Jacques et Pierre, épouse en 1663 Marie Froment, fille de feu Jean Froment, laboureur à Baincthun et de Jeanne Toussens (cm Hache du 29-09-1663 à Boulogne avec comme témoins pour lui : Jacques et Pierre, frères de Nicolas et Guillaume Marmin, son oncle). Les Toussens de la mère de l’épouse sont une importante famille de laboureurs de la paroisse d’Audinghen, plus particulièrement au hameau d’Onglevert où son père, Guérard Toussens, possède un domaine de 90 mesures légué par ses parents (FAB-Toussens, p. 843). La fratrie de Marie Froment compte Jeanne Froment qui épouse Robert Gugelot, laboureur à St-Martin en 1643 avec descendance Gugelot dans cette paroisse, Jacques Froment, époux d’Antoinette Deboves en 1654 à Baincthun avec descendance Froment dans cette paroisse et Claude Fourman qui épouse Anne Verdière à Samer en 1663 avec descendance Fourment dans cette paroisse. On trouvera plus de détails sur l’ascendance et la fratrie de Marie Froment dans notre texte sur les Froment. En 1667, le couple Dacquebert-Froment réside à St-Martin où est baptisée une fille, Marie (Parrain: Nicolas Niquet de la paroisse St-Joseph de Boulogne. Marraine: Marie Fournier de St-Martin). Marie Froment est peut-être la marraine au baptême de (1) Louis Guerlin, fils de Jean et Anthoinette Delbiausse en1676 à Baincthun (2) de Claude Mouliere, fils d'Antoine et Noel(le) De Lard en 1677 aussi à Baincthun. En 1682 Nicolas est laboureur à Wimille quand il signe (Nicollas Dacbert) comme témoin au contrat de son neveu Jacques Dacquebert avec Jeanne Beaubois. Son épouse est peut-être la Marie Fourment inhumée à Wimille en 1683.

En 1688, un fils, François Dacquebert, alors résident de la paroisse St-Joseph de Boulogne, épouse à l’église St-Nicolas de la même ville Antoinette Wattebled ou Watebled, Wateble.., alors résidente de cette paroisse, fille de feu Pierre et de Françoise Josset selon FAB-Dacquebert, p.304 (Acte de mariage non filiatif. L'époux est de la paroisse St-Joseph et l'épouse de celle de St-Nicolas. Signatures des époux comme dacbert et antoinette watebled. Signatures de Robert Dumunier, probablement le beau-frère de l'épouse, De Lattaignant, le notaire Jacques de Lattaignant qui a préparé un cm deux jours plus tôt, Gabrielle Wattebled, probablement la sœur de l'épouse et l’épouse de Robert Dumunier, Antoine Poure, Oudar Gardinier  et Brache?. Cm Lattaignant du 15-08-1688) avec au moins deux enfants Dacquebert ou Dagbert baptisés à Boulogne St-Nicolas: Marie Antoinette en 1690 (P.: Robert Dumunier, probablement l'oncle maternel à cause de son épouse Gabrielle Wattebled. M.: Marie Toussens de St Joseph qui, d’après sa signature, serait la cousine de Marie Froment, l’aïeule paternelle de la baptisée, et l’épouse de Bernard Hagoult, marchand à Boulogne) et Isabelle en 1692 (P. : Jacques Gugelot, probablement de par sa signature le fils de Robert et Jeanne Froment et donc le cousin de François Dagbert, le père de la baptisée. M.: Isabelle Prevost). D’après sa signature, François est peut-être le parrain au baptême de Geneviève Dacquebert, fille de son cousin Jacques et Jeanne Beaubois en 1686 à Outreau.

Marie Antoinette Dacquebert, la fille ainée du couple Dacquebert-Wattebled, épouse en 1724 à Boulogne St-Nicolas Jean Baret ou Barré, Baré.. de cette paroisse, fils de Jacques Baret et Charlotte Blondel selon geneanet vlecuyer (Acte de mariage non filiatif. Pas de témoin cité. Signature de Jean Baret, l'époux et marque de Marie Antoinette Dagbert, l'épouse. Marque de Pierre Duchemin, probablement l'oncle maternel par alliance à cause de Gabrielle Wattebled son épouse. Signatures de Marie Jeanne Formanoir et Pierre Dumunier, probablement le cousin de l'épouse. Signatures de Toussens d'Honglevert, Marie Darcy et Marie Jeanne Toussens, probablement la marraine de l'épouse à moins que ce ne soit Marie Jeanne Roussel, l’épouse de Pierre Dumunier. Note : Toussens d'Honglevert est probablement Antoine-Anselme Toussens, sieur d'Onglevert, avocat  en parlement et en la sénéchaussée du Boulonnais et Marie Darsy, son épouse - voir FAB-Toussens, p. 847 - son père Anselme Toussens est le cousin de Marie Froment. l'aïeule de l'épouse. On notera aussi l’absence des parents de l’épouse, donc peut-être déjà décédés et la présence des Toussens de la famille de la mère de Marie Froment, l’aïeule de l’épouse à Audinghen, qui pourrait l’avoir recueillie après la mort prématurée de ses parents). Le couple Baret-Dacquebert reste dans la basse ville de Boulogne où Jean est marchand et où naissent quatre enfants Baret entre 1723 et 1732. C’est aussi là qu’ils décèdent, lui marchand de 59ans en 1754  (avec son fils Jean François Marie Barré  et son frère Charles Barré qui signent comme témoins)  et elle en 1775, à 84ans avec les mêmes témoins.

Deux des quatre enfants du couple Baret-Dacquebert meurent en bas-âge : l’aînée Marie Antoinette Anseline, baptisée à St-Nicolas en 1723 (P.: Anselme Salomon Toussent, probablement le fils d’Antoine-Anselme et Marie Darcy, témoins au mariage des parents. M. : Marie Toussent, peut-être sa sœur) et décédée à 8ans en 1731 et Jean Charles Noel, baptisé en 1728 (P. : Jean Gardinier. M. : Charlotte Blondel, peut-être l'aïeule paternelle) et décédé à 3ans en 1732. Les deux autres se marient. Jean François Marie Baret, baptisé en 1726 (P.: François Canet, avocat en Parlement. M. : Marie Isabelle Doyet ou Doyon) est marchand à St-Nicolas comme son père quand il y épouse en 1750 Catherine Charlotte Fortin, 24ans, originaire de Gravelines, fille des défunts  Pierre Fortin et Jacqueline Grilly (Acte de mariage filiatif. Consentement de François Broden, marchand à Gravelines et tuteur de Catherine Fortin. Les témoins cités pour l'époux sont Jean Baret et Marie Antoinette Dacbert, son père et sa mère. et du côté de l'épouse, sa tante Catherine Grilly et Jacques Piquendaire, son beau-frère. Signatures des époux, de Jean Baré, de Jacques Picquendaire, et marque de Catherine Grilly. Signatures de Charles Baret, probablement l'oncle de l'époux, et Philippe Baré. Signatures de Marie Josephe Fortin, de Marie Antoinette Charlotte Baret, probablement la sœur de l'époux, et Marie Jenne Sauvé, probablement la tante de l'époux et épouse de Charles Baret) avec descendance Baret à Boulogne où il décède veuf de 79ans en 1805. Sa sœur, Marie Antoinette Caroline (ou Charlotte) Baret, baptisée en 1732 (P. : Charles Barré ou Baré, probablement l'oncle paternel. M. : Antoinette Desure ou Desvres) épouse en 1763 à St-Nicolas Jacques Achille Roussel, 35ans, fils de Jacques Roussel, boulanger et de Marie Jeanne Ducrocq (Acte de mariage filiatif. Les témoins cités pour l'époux sont Louis Marie Augustin Roussel, son frère, et Nicolas Wallet, son beau-frère, et pour l'épouse Jean François Barré, son frère, et Charles Barret, son oncle. Signatures des époux et des témoins cités. Signatures de Joseph Baret, Destrelle, Louis Perard, diacre, et Lonquety) avec descendance Roussel à Boulogne St-Nicolas où il décède, marchand de 40ans, en 1771.

Trois autres enfants du couple Dacquebert-Marmin et donc des frères et sœurs de Jacques, Pierre et Nicolas sont mentionnés de manière indirecte. François Dacquebert et Philippe Dacquebert sont témoins au contrat de leur frère Pierre et Jacqueline Troussel de 1661 avec leurs frères Jacques et Nicolas et leur oncle Thomas Dacquebert. Philippe est également cité avec ses frères Jacques et Pierre comme cousins germain de Marie Marmin dans son contrat avec Nicolas Verdure ou Verdier de 1669 (cm de Neuville, curé d’Outreau, du 22-01-1669. Selon FG-Marmin, p. 1538, Marie Marmin et sa sœur Françoise sont les filles d’un frère Marmin non identifié des deux Jeanne Marmin, l’épouse de Jean et celle de François Dacquebert). Anne Dacquebert est mentionnée comme tante paternelle de Barbe Dacquebert, la fille de Pierre, dans son contrat avec Jean Rougegrez en 1701.

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