Les descendants de Louis
Dagbert et Félicité Ducloye
Comme indiqué plus haut, Louis Balt(h)azar(d) Dagbert,
fils de Balthazar et Marie Marguerite Bonvoisin est baptisé à Boucres
en 1758. Sa belle signature apparaît pour la première fois dans les
registres de Boucres quand il témoigne comme ami de l’époux au mariage
de Louis Prudhomme et de Marie Louise Duhamel en 1776 à Boucres. En
1789, il épouse à Boucres, Marie Michelle Félicité Ducloye ou
Ducloy, Ducloi, 21ans, originaire de St Tricat, fille de Michel
Ducloye, manouvrier et « endigueur » à Boucres et Marie Julie ou Judith
Félicité Fauquet ou Focquet (Les témoins sont Balthazar Dagbert
et Marguerite Bonvoisin, père et mère de l'époux, Benoit et André
Dagbert, ses frères, tous de Boucres, Michel Duclois et Judith Fauquet,
les parents de l'épouse, aussi de la paroisse de Boucres, de Louis
Léglise, fermier à Guînes, de Gabriel Thomir, clerc laïc, et
François Guilbert de la paroisse de Boucres. Signatures de Louis
Baltazard Dagbert et Félicité Ducloy, les époux, de Balthazar Dagbert,
Benoit Dagbert, Jacques Hiart, probablement le beau-frère de l'époux,
G. Thomir et marque de Michel Duclois). Le couple
Dagbert-Ducloye réside à Hames où Louis est journalier ou manouvrier
(1789-1803). Félicité décède prématurément en 1803, à 34ans (Robert et Gabriel Crendal, des amis cultivateurs à Boucres sont les témoins). Louis, toujours journalier, se remarie en 1806 à Boucres avec Marie Marguerite Giniau
ou Giniaux, domestique de 44ans, fille des défunts Jean Baptiste
Giniau, et Marie Jeanne Anquez, de leur vivant fermiers au Bas-Marck (Les
témoins sont Benoit Dagbert, 46ans, ménager et André Dagbert, tailleur
d'habits, tous deux à Boucres et frères de l'époux, Jean Jacques Butez,
44ans, charpenter, ami de l'épouse et beau-frère de l'époux et Pierre
Louis Rault, 34ans, instituteur, secrétaire et greffier des communes de
Hames et Boucres, ami de l'épouse. Signature de l'époux et des témoins
sauf André Dagbert. L'épouse et André Dagbert ne signent pas). Le
couple Dagbert-Giniau continue d’habiter Hames puis Hames-Boucres où
Louis est journalier (1810) puis, à partir d’au moins 1820, ménager
jusqu’à son décès à 69ans, en 1828, à son domicile du hameau de la
Pierre (décès déclaré par ses fils Isidor et Louis Marie Dagbert).
On ignore où et quand sa seconde épouse Marie Marguerite est morte. On
retrouve la signature de Louis sur plusieurs actes de l’état civil de
la commune de Hames-Boucres : (1) témoin comme beau-fils au
décès de Michel Ducloye en1820. (2) témoin comme voisin au décès de
Françoise Thérèse Adèle Dubuisson, 10 ans, en 1824 (4) témoin à la
naissance de sa petite fille Augustine Pétronille en 1824. (5) présent
et consentant au mariage de son fils Isidore en 1824 (6) témoin au
mariage de sa nièce Marie Joséphine Butez en 1825 (7) témoin au mariage
de son fils Louis Marie Antoine en 1827. Six enfants naissent du premier mariage, entre 1789 et 1800, tous déclarés à Hames (table 10) :
L’aîné, Louis Balthazar Dagbert, est baptisé en 1789 (le parrain est Balthazard Dagbert et la marraine, Félicité Fauquet, épouse de Michel Ducloi, donc les grands parents). On le présente dans la section suivante
On a perdu la trace de son frère jumeau, Jacques Barthelemy (le parrain est Jacques Duflos et la marraine, Marguerite Dagbert de Boucres, probablement sa tante).
Suit Louis Marie Antoine Dagbert, baptisé en 1792 (le parrain est Louis Marie Adolphe Rousset et la marraine, Marie Louise Antoinette Bonvoisin). On le retrouve tailleur d’habit à Hames-Boucres quand il laisse sa signature comme témoin (1)
à la naissance de sa nièce Joséphine Dagbert en 1825 (2) au décès de
son oncle Benoit Dagbert en 1826 (3) au décès de sa tante Charlotte en
1827 (4) au décès de son père Louis Baltazar Dagbert en 1828. Il est également tailleur d’habit à Hames-Boucres quand, il y épouse en 1827 Rosalie Henriette Désirée Butez,
22 ans, originaire et domiciliée à Hames-Boucres, fille de Jean Louis
Butez, propriétaire, et Marie Jeanne Rosalie Thomir. Jean Louis Butez
est le frère aîné de Jean Jacques Butez, époux de Marguerite Henriette
Dagbert, la sœur cadette de Louis Baltazar, le père de Louis Marie
Antoine. Les époux sont donc cousins par alliance (les témoins
sont le père de l’époux, Louis Baltazar Dagbert, 69 ans, ménager, et
son oncle, Auguste Dagbert, 54 ans, propriétaire à Hames-Boucres,
François Isidore Butez, 26 ans, principal clerc de notaire à Boulogne
et Jean Pierre François Butez, 32 ans, charpentier à Hames-Boucres,
tous deux frères de l’épouse. Signatures des époux et des témoins. Le
père de l'épouse ne signe pas). Le couple Dagbert-Butez réside
d’abord à Campagne-les-Guînes où Louis Marie continue d’être tailleur
(1829 et 1835) puis à Guînes où il est marchand et tailleur (1836, 1840
et 1847) et finalement rentier (1852). On retrouve sa signature comme
témoin au mariage de son neveu Louis Baltazard à Andres en 1840 et au
mariage de Robert Marlez et Louise Stéphanie Fauquet en 1847 à
Guînes. Il décède à Guînes en 1855, à 62ans (les témoins sont Joseph Deviez, 54 ans, chapelier à Guînes et Jean Pierre Butez, 58 ans, menuisier à Guînes, son beau-frère).
Rosalie Butez, son épouse, déménage à Boulogne, sur la Grande Rue, où
sa fille s’est établie, et elle y décède en 1862, à 57ans (décès déclaré par son frère François Isidore Butez, 61ans, propriétaire et Louis Thiebaut, 44ans, chef de bureau à la mairie).
On leur connaît deux enfants, tous deux nés à Campagne-les-Guînes. Alors que la cadette, Louise Sidonie Augustine, née en 1835 (Jean Caron, 40ans, maréchal et Louis Ferdinand Bertin Saison, 40ans, instituteur, tous deux de Campagne, sont les témoins) ne survit que 20 mois (Henry Gouviez, 57 ans, appariteur et Antoine Buy, 50 ans, tourbier signent l’acte de décès à Guînes en 1836), l’aînée, Louise Azémia Dagbert, née en 1829, épouse en 1852 à Guînes Charles François Leblanc, 27ans, horloger à Boulogne, fils de feu Antoine François Leblanc et feue Marie Jeanne Bernardine Famechon (Les
témoins sont François Marie Famechon, 62 ans, rentier à Boulogne, oncle
maternel de l'époux ; Edmond Lagache, 29 ans, horloger à Boulogne,
cousin germain maternel de l'époux ; Jean Pierre Butez, 56 ans,
menuisier à Guînes, oncle maternel de l'épouse; François Isidore Butez,
51 ans, greffier de la justice de paix du canton de Boulogne à
Boulogne, oncle maternel de l'épouse . Signatures des époux et des
témoins. Le père de l'épouse, Louis Marie Dagbert, rentier à Guînes,
donne son consentement par acte notarié chez me Delannoy à Guînes).
Le couple Leblanc-Dagbert s’établit à Boulogne où Charles François est
horloger (1853, 1856 et 1874) et où il décède, rentier, à 81ans, en
1906. Son épouse décède également à Boulogne en 1914. On leur connaît
deux filles, dont Louise Henriette Leblanc, née en 1853, qui épouse à Boulogne en 1874 le négociant de 24ans Louis Edmond Philippot,
originaire de Reims, domicilié depuis peu à Boulogne sur la rue de
Lille après avoir séjourné sur le boulevard Sébastopol à Paris-4, fils
de feu Henri Philippot, de son vivant boulanger-pâtissier à Reims, et
Pauline Payer, 60ans, propriétaire à Reims (Les témoins sont
Charles Aimé Payer, 50ans, commissaire-priseur à Reims, oncle de
l'époux, Irénée Quenardel, 32ans, architecte à Reims, François Isidore
Butez, 73ans, propriétaire à Boulogne, grand-oncle maternel de l'épouse
et Jules César Leblanc, 51ans, horloger à Paris, oncle paternel de
l'époux. Signatures des époux et des témoins) avec descendance Philippot à Boulogne.
Après François Elisidore, né à Hames en 1794 (les témoins sont Jacques Vasseur, 34 ans, maréchal à Hames et Charlotte Dagbert, 28 ans, de Boucres, probablement sa tante) mais décédé quatre mois plus tard, le cinquième enfant du couple Dagbert-Ducloye est Isidore ou Isidor Dagbert, né à Hames en 1797 (Les
témoins à la naissance sont Benoit Dagbert, 30ans, manouvrier à
Boucres, probablement l'oncle, et la marraine : Marie Antoinette Maton,
24ans, d'Hames). En 1824, il est ménager à Hames-Boucres quand il y épouse Marie Louise Antoinette Augustine Dubuisson, 24ans, fille de feu Jean Jacques Dubuisson et Marie Antoinette Augustine Gressier, ménagère à Hames-Boucres (les
témoins sont Louis Baltazar Dagbert, 67 ans, ménager, père de l’époux,
Benoît Dagbert, 62 ans, cultivateur, oncle de l'époux, Baltazar
Delobel, 46 ans, tailleur d'habits à Pihen, oncle de l'épouse et
Antoine Louis Vigreux, 57 ans, charpentier à Pihen, oncle épouse.
L’époux signe ainsi que les témoins sauf le troisième). Le
couple Dagbert-Dubuisson reste à Hames-Boucres où Isidor est ménager
(de 1824 à 1880) au hameau de la Pierre où il a vraisemblablement pris
la relève de son père Louis décédé en 1828. Il décède rentier en 1887,
à 90ans, au domicile de Jules Houzel, son petit-fils, (décès déclaré par ses amis Pierre Guche, 58 ans, cultivateur et Edouard Durva, 60 ans, cabaretier). Son épouse Dubuisson était morte en 1871, à 71ans (décès déclaré par son gendre Antoine Houzel, 50 ans, maréchal, et François Pihen, 60 ans, rentier, son cousin germain). On retrouve sa signature sur plusieurs actes de l’état civil de Hames-Boucres dont : (1)
témoin au décès de son père Louis Baltazar Dagbert en 1828. (2) témoin
au mariage de sa nièce Louise Augustine Joséphine Dagbert en 1843. (3)
témoin à la naissance de son petit-fils Armand Houzel en 1848. (4)
témoin au mariage de sa petite fille Joséphine Houzel en 1871 (5)
témoin au mariage de Léopold Désiré César Leleu, aide laboureur, et
Marie Adèle Eugénie Delabasserue, journalière, en 1880. Le couple aurait eu trois enfants.
L’aînée, Marie Philippine Joséphine Dagbert, née en 1825 (les témoins sont Louis Marie Dagbert, 33 ans, tailleur d'habits, oncle et François Sauvage, 45 ans, instituteur ) épouse en 1847 à Hames-Boucres, Jean Baptiste Charles Antoine Houzel,
26 ans, maréchal , fils de feu Louis Marie Antoine Augustin Houzel, de
son vivant ouvrier au port de Calais et décédé à l'hôpital militaire de
cette ville en 1840 et Éléonore Lefebvre, ménagère à Hames-Boucres (les
deux époux signent ainsi que les témoins : Jean Baptiste Lefebvre, 47
ans, berger à Guînes, oncle de l'époux, Louis Joseph Gaudry, 31 ans,
journalier, bel oncle de l'époux, Auguste Dagbert, 47 ans, rentier,
oncle de l'épouse et Louis Baltazard Dagbert, 59 ans, journalier, oncle
de l'épouse). Le couple Houzel-Dagbert réside à Hames-Boucres
où Antoine est maréchal-ferrant (1847-1871) puis rentier (1885) jusqu’à
son décès en 1903 à 82ans. Son épouse Joséphine était décédée beaucoup
plus tôt, en 1859, à seulement 33ans (Les témoins au décès
étaient François Delobel, 29ans, garçon maréchal et Auguste Dagbert,
60ans, oncle paternel, rentier, tous deux de Hames-Boucres).
Antoine s’était remarié en 1879 à Hames-Boucres avec Louise Virginie
Clémentine Mallet. Antoine et Joséphine ont eu quatre enfants, tous nés
à Hames-Boucres entre 1848 et 1853. L’aîné, Armand Joseph Antoine Houzel, né en 1848 (L’aïeul
Isidore Dagbert, 51ans, ménager à La Pierre, commune de Hames-Boucres
et le grand-oncle Auguste Dagbert, 48ans, rentier, sont les témoins) est négociant à St Pierre en 1876 et 1879. Alina Joséphine Azemia Houzel, née en 1849 (De nouveau l’aïeul Isidore Dagbert, 53ans, et le grand-oncle Auguste Dagbert, 49ans, tous deux ménagers, sont les témoins) épouse en 1871 à Hames-Boucres Désiré Jules Joseph Dubois,
carrossier de 27ans à Guînes, originaire de Wazemmes dans le Nord, fils
de Jules Joseph Dubois, 53ans, carrossier à Guînes et Amélie Fidelis
Reine Devriendt, 50ans, ménagère (Les témoins sont Théophile
Lecomte, 27ans, clerc de notaire, Jacques Antoine Bouclet, 50ans,
charron, tous deux ami de l'époux et domiciliés à Guînes, Isidore
Dagbert, 74 ans, grand-père de l'épouse et Jacques Lefebvre, 68ans,
rentier, son oncle, tous deux domiciliés à Hames-Boucres. Signatures
des époux, des parents de l'époux, du père de l'épouse et des premiers
témoins. Le témoin Lefebvre ne signe pas) mais décède peu-après chez son père à seulement 24ans. Jules Clément Houzel, né en 1851 (Jacques Fauquet, 41ans, cantonnier et Jean Marie Antoine Desgardin, 41ans, couvreur en paille sont les témoins) est maréchal à Hames-Boucres comme son père quand il y épouse en 1879 Hortense Louisa Lavoine, 18ans, fille de Louis Benoit Lavoine, 61ans, et Antoinette Françoise Hortense Herbez, 51ans, cabaretiers à Hames-Boucres (Les
témoins sont Antoine Houzel, 31ans, négociant à St Pierre, frère de
l'époux, Jules Dubois,34ans, carrossier à Guînes, son beau-frère,
Gustave Lavoine, 30ans, maréchal, à Hames-Boucres, frère de l'épouse et
Louis Lavoine, 69ans, rentier à St Tricat, son oncle. Signatures des
époux, du père de l'époux, des parents de l'épouse et des témoins) avec descendance Houzel à Hames-Boucres. Adèle Clémence Houzel, née en 1853 (François Sauvage, 73ans, ancien instituteur et Jacques Lannoy, 51ans, cabaretier, sont les témoins) épouse à Hames-Boucres en 1876 Isidore Auguste Louis Boucher,
28ans, brasseur, domicilié et originaire de Guînes, fils d’Isidore
Boucher et Marie Louise Lecoustre, 56ans, brasseurs à Guînes (Les
témoins sont Eugène Lemaire, 29ans, peintre à Bourbourg,
beau-frère de l'époux, Henri Boucher, 61ans, cultivateur à Guînes, son
oncle, Antoine Houzel, 29ans, négociant à St Pierre, et Jules Houzel,
25ans, maréchal à Hames-Boucres, frères de l'épouse. Signatures des
époux, de leurs pères et des témoins sauf le deuxième. La mère de
l'époux et le témoin Boucher ne signent pas).
Suit Émilie Justine, née en 1827 (les
témoins sont Auguste Dagbert, 53 ans, cultivateur, grand-oncle du côté
paternel et François Sauvage, 47 ans, instituteur qui tous deux signent) et qui meurt à 21 ans au domicile de son père au hameau de la Pierre (les témoins sont Louis Lasalle, 41 ans, tisserand, qui signe et Julien Mallet, 47 ans, cultivateur).
Enfin il y a Isidor Ferdinand Dagbert, né en 1831 (les
témoins sont Auguste Dagbert, 31 ans, aide de labour, oncle et de
nouveau François Sauvage, 50 ans, instituteur qui tous deux signent) qui lui aussi meurt prématurément en 1843 (les
témoins sont de nouveau Louis Lasalle, 35 ans, tisserand et Pierre
François Joseph Trouille, 38 ans, cultivateur qui tous deux signent).
Le sixième et dernier enfant du couple Dagbert-Ducloye est Florent Auguste Dagbert, né à Hames en 1800 (les témoins sont son oncle paternel Auguste Dagbert, 25 ans, manouvrier à Boucres, et Pétronille Coquerel, 30 ans, de Hames).
Sa signature apparaît pour la première fois dans les actes de
Hames-Boucres en 1824 quand, tailleur d’habit dans cette commune, il
reconnaît la paternité d’Augustine Pétronille, fille de Pétronille
Paulet, 37 ans, domestique (Naissance dans la maison de
François Daniel Masset avec pour témoins : François Sauvage, 43 ans,
instituteur et Louis Dagbert, 67 ans, grand- père, marchand de lin).
Par la suite, comme indiqué plus haut, il demeure chez son oncle et
parrain Auguste Dagbert (recensements de 1831, 1836 et 1841) et dans
les actes qu’il signe, il est qualifié d’aide de labour (1831, 1833 et
1845). En 1846, il témoigne au décès de son mentor comme cultivateur.
Dans les années 1847 et 1848, même s’il n’a pas 50ans, il s’identifie
comme rentier. A partir de 1849 et jusqu’en 1855, il est ménager puis
de nouveau rentier en 1858 et 1859. Finalement de 1863 jusqu’à sa mort
en 1866, à 65ans, il redevient ménager (décès en sa demeure, rue
du Moulin, déclaré par ses neveux Virgile Dagbert, 48 ans, tailleur
d'habits, et Antoine Houzel, 44 ans, maréchal). Comme pour son oncle et homonyme, on retrouve sa signature sur de nombreux actes de l’état civil de Hames-Boucres :
(1) témoin à la naissance de son neveu Isidor Ferdinand Dagbert en 1831
(2) témoin au mariage de son ami Pierre François Robbe avec Joséphine
Fontaine en 1833 (3) témoin au décès de son neveu Jean Jacques Butez en
1845 (4) témoin au décès de son oncle Augustin Dagbert en 1846 (5)
témoin au mariage de sa nièce Marie Philippine Joséphine Dagbert en
1847 (6) témoin au décès de Marie Louise Antoinette Augustine Butez en
1847 (7) témoin à la naissance de son petit neveu Armand Houzel en 1848
(8) témoin au décès d'Henriette Julie Antoinette Butez et
d’Eugénie Ernestine Butez en 1849 (9) témoin au décès de sa
petite nièce Louise Devin en 1849 (10) témoin à la naissance de son
petit neveu Louis Gustave Dagbert en 1850 (11) témoin comme voisin au
décès de Marie Antoinette Victoire Dufreutelle, en1852 (12) témoin au
mariage de sa nièce Françoise Agathe Dagbert en 1855 (13) témoin au
décès d'Antoinette Augustine Gressier en 1858 (14) témoin au mariage de
François Louis Constant Leclercq, aide laboureur, et Marie Claudine
Euphrasie Darcourt, domestique, en 1858 (15) témoin au décès de
Célestin Felix Ovide Boutroy en 1859 (16) témoin au décès de Denis
Garin, 73ans, mendiant, en 1859 (17) témoin au décès de sa nièce
Marie Philippine Joséphine Dagbert en 1859 (18) témoin au mariage de sa
petite nièce Virginie Dagbert, fille de Virgile et Adèle Masset, en
1859 (19) témoin à la naissance de sa petite nièce Louise
Félicité Dagbert en 1863 (20) témoin au mariage de Charles Louis
Legrand, ouvrier maréchal à Marck et Marie Eugénie Céline Titren,
journalière, en 1865 (21) témoin à la naissance de sa petite nièce
Louise Félicie Dagbert en 1865.
On retrouve Augustine Pétronille Dagbert,
la fille d’Auguste reconnue en 1824, à son décès à 66ans, en 1890, dans
sa demeure rue de Galilée à Calais. Elle était alors l’épouse de Jacques Louis Adrien Duhamel, 74ans. On ignore où et quand ils se sont mariés.
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