Les descendants du couple Dagbert-Hiance
L’avant-dernier enfant du couple Dagbert-Prevost, Pierre Joseph Dacbert, est celui qui va perpétuer la descendance patronymique de cette branche des Dagbert de Marquise. Baptisé en 1753 (avec Pierre Boucher, maitre boulanger à Samer comme parrain et Marie Madeleine Waro de Marquise comme marraine), il épouse en 1779 à Marquise Marie Madeleine Elizabeth Hiance, 28ans, native de Marquise, fille de Pierre Hiance, chaufournier à Marquise et de Marie Thérèse Platrier (Les
témoins sont Pierre Hiance, père de l'épouse, Pierre Jacques
Marie Hiance son frère, jeune homme aussi de cette paroisse, Antoine
Dacbert, couvreur de tuiles, père de l'époux, François Boulenger
cordonnier, tous deux de cette paroisse qui ont signé avec ledit époux
et François Prevost cousin germain de l'épouse qui a déclaré ainsi que
ladite épouse ne savoir écrire. On note également une signature
Quetelard, non identifiée). Le couple reste à Marquise où
Pierre est couvreur de tuiles comme son père puis maçon jusqu’à son
décès à 48ans, en 1800, toujours à Marquise (les témoins au
décès sont Jean Marie Houzet, 35ans, maître d’école, et François
Boulenger, 50ans, cordonnier, tous deux de Marquise). Son
épouse, Marie Madeleine Elizabeth, s’éteint près de 30ans plus tard, à
81ans, en 1832, à son domicile de la rue de Ledquent. On leur connaît
sept enfants nés et baptisés à Marquise entre 1779 et 1792 (Table 15).
L’aîné de ces enfants, Marie Madeleine Urbine Dacbert, née deux mois après le mariage en 1779 (Elle est " ondoyée d'une manière douteuse et baptisée conditionnellement ". Le
parrain est Marc Quetelard, jeune homme de la paroisse, probablement le
même qui a signé l’acte de mariage de 1779, et la marraine, la tante
Marie Jeanne Dacbert) décède en 1803, à 25ans, vraisemblablement célibataire (ce sont de nouveau Jean Marie Houzel, instituteur, et François Boulenger, cordonnier, qui signent comme témoins au décès).
Sa sœur Marie Antoinette Julie Dacbert, baptisée en 1780 (Elle
aussi est " ondoyée d'une manière douteuse et baptisée
conditionnellement ". Le parrain est Jacques Louis Magnier, jeune homme
de la paroisse de Marquise et la marraine, la tante Marie Antoinette
Julie Hiance). En 1808, elle donne naissance à un enfant naturel qu’elle prénomme Marc Louis Marie (les
témoins à la naissance sont Martin Routtier, cultivateur, et Antoine
Dacbert, maître maçon, probablement le frère de Marie Julie). Cet enfant est reconnu en 1810 lors du mariage à Marquise de Marie Antoinette Julie avec Pierre Jean Marc Vasseur,
voiturier de 25ans originaire de Rety, fils de Jean Marie Vasseur et
Geneviève Duchateau, cultivateur demeurant dans la commune de
Hocquinghen, canton de Guînes (Le père de l’époux, Jean Marie
Vasseur, cultivateur à Hocquinghen donne son consentement par
l’intermédiaire d’un fondé de pouvoir, Georges Ponville, peintre en
bâtiment à Marquise. Les témoins sont Pierre Jean Halgout, 62ans,
propriétaire, Eustache Rault, 25ans, tonnelier, tous deux de Marquise
et amis de l’époux, Antoine Dacbert, 22ans, maçon à Marquise, frère de
l’épouse et François Bonvalet, 51ans, greffier de la justice de paix de
Marquise, ami de l’épouse. Signatures des témoins. Les époux ne signent
pas). Le couple à un autre enfant, Claudine Pélagie Vasseur, née en 1811 à Marquise. On
les retrouve avec leur deux enfants, Marc et Pélagie, dans le
recensement de 1820 à Marquise (Marc Vasseur, le père, y est qualifié
de journalier) ainsi que celui de 1836 (Marc Vasseur le père y est
marchand de porcs). On perd la trace de Marc, le fils, mais Pélagie donne naissance à un enfant naturel, Pierre Marie Auguste Vasseur, en 1833 à Marquise (Augustin, 2ans avec sa mère Pélagie chez les grand-parents dans le recensement de 1836).
On retrouve ce fils, célibataire et instituteur public, avec sa mère, à
Ambleteuse en 1866 puis à Lambres, près d’Aire-sur-la-Lys, où il est
toujours célibataire mais receveur et buraliste, avec sa mère qui y
décède en 1891. Peu après ce décès, en 1891, à 57ans, il épouse Félicie Ambroisine Machart,
46ans, sans profession, originaire de St Omer, demeurant au Vésinet
près de Versailles, veuve d'Adolphe Louis Joseph Sailly, décédé à
Arques en 1874, fille des défunts Placide Omer Machart et Henriette
Joséphine Querquant (Les témoins sont des amis des époux
domiciliés à Lambres : Louis Hieulle, 46ans, négociant, Gustave
de St Laurent, 54ans, propriétaire, Gustave Rolin, 55ans, propriétaire
et Edouard Morel, 42ans, brasseur. Signatures des époux et des témoins)
mais décède quelques mois plus tard. Pour revenir au couple
Vasseur-Dagbert, Marie Antoinette Julie s’éteint à Marquise à 68ans en
1849 alors que son époux y est marchand et Jean Marc décède en 1866, à
80ans chez son petit-fils à Ambleteuse.
Le troisième enfant du couple Dagbert-Hiance est Marie Anne Dacbert, baptisée à Marquise en 1782 (avec François Théodore Martin, jeune homme, et Marie Louise Leporcq qui signent comme parrain et marraine).
Elle va rester célibataire mais aura deux enfants naturels, d’abord une
fille, en 1805, Marie Anne qui ne survit qu’une semaine puis un fils,
en1817, Henri François Dagbert (François
Taverne, 51ans, menuisier et l’oncle Augustin Dagbert, 26ans, maçon,
sont les témoins. Dans le recensement de Marquise de 1820, on retrouve
Marie Anne, 38ans, célibataire et son fils François, 4ans, chez la
veuve Marie Madeleine Hiance,72ans). Mère et fils déménagent à Boulogne où Marie Anne s’éteint en 1842, à 62ans, ancienne couturière, rue de l'Ancienne Comédie (décès déclaré par son fils Henry François Dagbert, 28ans, tailleur d'habit et Jean Baptiste Dubelloy, 36ans, ébéniste).En 1838, Henry François est tailleur d’habits chez sa mère à Boulogne quand il y épouse Marie Florine Coelina Roy,
couturière de 20ans chez sa mère à Boulogne, fille de feu Louis Roy,
mort à Marquise en 1827 et Marie Françoise Fontaine, ménagère (Les
témoins sont Louis Roy, 27ans, marbrier, frère de l'épouse, Narcisse
Mesmin, 21ans, ferblantier, ami de l'épouse, Armand Schmez,21ans,
ferblantier et Joseph Marmin, 31ans, maçon, amis de l'époux. Signatures
des contractants et des trois premiers témoins. Les mères des
contractants et le dernier témoin ne signent pas). Le couple réside à Boulogne (rue
de L’Ancienne Comédie en 1844-45, rue des Pipots en 1848-49, rue du
Sautoir en 1850-54, rue de Constantine en 1855-61, rue d’Outreau en
1872 et rue de St Omer en 1894) où Henry François est tailleur
d’habits (1838-54 et 1872) mais aussi concierge à la fabrique de plumes
métalliques de Libert, Hill et Compagnie, rue de Constantine en
1855-61. Il décède en 1894, à 77ans, veuf et rentier, rue de St Omer (décès déclaré par son fils, Henri Dagbert, 55ans, mécanicien et Eugène Montenuis, 35ans, rentier).
On n’a pas retrouvé le décès de son épouse qui se situe entre 1872 et
1894. Ils ont jusqu’à 12 enfants, tous nés à Boulogne entre 1839 et
1859 mais au moins neuf de ces enfants meurent en bas-âge. L’aîné, Henri Louis Dagbert, né en 1839 (l’oncle maternel et marbrier Louis Roy, 28ans, est témoin à la naissance) est ajusteur mécanicien chez ses parents rue de Constantine en 1861 quand il épouse à Boulogne Isabella Johnston,
femme de chambre de 24ans sur la rue Tant Perd Tant Paie, originaire de
Banff en Ecosse, fille de feu William Johnston et Elizabeth Kerr, 58
ans, ménagère à Banff (Les témoins sont Louis Roy, 50 ans,
marbrier, oncle maternel de l'époux, Marc Fontaine, 72 ans, rentier,
grand-oncle maternel de l'époux, François Roy, 42 ans, tailleur à
St-Martin, oncle maternel de l'époux et Pierre Marmin, 58ans, maçon,
ami de l'épouse. Signatures des époux, du père de l'époux et des trois
premiers témoins. La mère de l'époux et le quatrième témoin ne signent
pas. La mère de l'épouse donne son consentement de l'Ecosse par acte
notarié). Au mariage, le couple légitime une fille née
moins d’un mois avant le mariage et prénommée Isabelle Henriette mais
qui décède quelques mois plus tard (ils résident alors sur la rue du
Pot d’Étain). On n’a pas trouvé d’autre descendance et Henri Louis
serait décédé à Boulogne en 1917. Sa sœur cadette, Marie Florine Marianne Dagbert, née en 1842, est couturière chez ses parents rue d’Outreau en 1872 quand elle épouse Louis Lannoy,
âgé de 30ans lui aussi, employé au chemin de fer, demeurant aussi rue
d'Outreau fils des défunts Charles Louis Félix Lannoy et Augustine
Gradelle (Les témoins sont Henri Dagbert, mécanicien, 32 ans,
frère de l'épouse, Jules Condette, 30ans, caissier, ami des époux,
Alexandre Dumoulin, 34 ans, louager, beau-frère de l'époux et Charles
Lannoy, 30ans, employé au Chemin de Fer du Nord, frère de l'époux.
Signatures des époux, du père de l'épouse et des témoins. La mère de
l'épouse ne signe pas). On ne leur connait qu’une fille, Florine Louise Elizabeth Lannoy, née en 1873 à Boulogne et qui aurait épousé Paul Claude Philogone Brunette en
1902 à Montmorency en Seine-et-Oise. Comme le couple n’a pas laissé
d’autres traces dans les registres de Boulogne, on peut penser qu’ils
ont déménagé assez rapidement dans la région parisienne.
Le premier garçon du couple Dacbert-Hiance, Pierre François Joseph, est baptisé à Marquise en 1784 (le parrain est François Taverne et la marraine, Françoise Antoinette Geneviève Leporcq) mais il décède probablement célibataire, à 24ans, en 1808 (Charles Bléard, serrurier, et Josselin Montenuis, maréchal, sont les témoins du décès). Suit Antoine François Dacbert, baptisé en 1787 (avec
Jacques François Broutta, arpenteur, comme parrain et Catherine Julie
Françoise Bracqbien, épouse de François Joseph Pacquier, comme marraine) et maçon comme à Marquise comme son père en 1809 quand il y épouse Marie Catherine Augustine Pouilli, 27ans, fille de Jean Jacques Pouilli, tourneur à Marquise, et Marie Antoinette Françoise Coquerel (Les
témoins sont Augustin Dacbert, frère de l'époux, et Jean Pierre
Noyelle, ami de l'époux, tous deux maçons à Marquise ainsi que Jean
Jacques et François Léon Barthélémi Pouilli, respectivement père et
frère de l'épouse. Signatures du contractant et du témoin Noyelle. La
contractante et les autres témoins ne signent pas). Le couple Dacbert-Pouilli réside à Marquise où Antoine François est maçon (Le
recensement de 1820 à Marquise donne François Antoine Dagbert, maçon,
33ans, Catherine Pouilly, 39ans, Pierre Joseph Dagbert,12ans, Antoine
François Dagbert, 9ans, Pierre Joachim Dagbert, 6ans, et Marie Jeanne
Coquerel, veuve Pouilly, 66ans. Pierre Joseph Dagbert est une énigme
car on ne retrouve pas son acte de naissance à Marquise vers 1807-1808.
On le retrouve dans le recensement de 1831 mais avec le patronyme de la
mère. Ce recensement se lit comme suit : Antoine Dagbert, 48!ans,
maçon, Catherine Pouilly,50!ans, épouse, Antoine Dagbert, 20ans, fils,
Joachim Dagbert,17ans fils, Catherine Dagbert,7ans, fille et Pierre
Pouilly, 23ans, fils. Ce Pierre ou Pierre Joseph Pouilly né vers
1807-1808 est vraisemblablement un enfant naturel de Catherine Pouilly
avant son mariage avec Antoine Dagbert en 1809 mais il n’est pas né à
Marquise). Il s’éteint en 1838, à 51ans, toujours maçon (décès déclaré par Jacques Leporcq, 50ans, et Edouard Quenu, 52ans, marchands et voisins). Sa veuve lui survit jusqu’à 71ans, en 1853, quand elle décède chez son fils Pierre Joachim (décès déclaré par Pierre Fournier, 37ans, cordonnier et Felix Legrand, 27ans, chaudronnier). On leur connait trois enfants nés à Marquise entre 1811 et 1824.
L’aîné est un homonyme du père, Antoine François Dacbert, né en 1811 (avec l’oncle François Léon Pouilly, tourneur, et François Quenel, cabaretier, comme témoins) et il est aussi maçon à Marquise quand il épouse en 1839 à Offrethun, Marie Euphroisine Émélie Douchet,
couturière à Offrethun, fille de Marc Antoine Denis Douchet,
cordonnier, et Marie Louise Euphroisine Morel, tous deux d'Offrethun ( Les
témoins sont Joachim Dagbert, 25 ans, tailleur de pierres à Marquise,
frère de l'époux; Augustin Dagbert, 50 ans, maçon à Marquise, oncle de
l'époux; Pierre Marie Douchet, 35 ans, garçon de charrue à Offrethun,
germain de l'épouse et Noël Verlingue, 22 ans, cultivateur à Offrethun,
voisin de l'épouse. Signature des époux, des parents de l'épouse et des
témoins sauf le deuxième. La mère de l'époux et le témoin Augustin
Dagbert ne signent pas). Le couple
Dacbert-Douchet réside à Marquise où Antoine François est maçon jusqu’à
son décès à 71ans en 1882. Son épouse décède peu après en 1885, à
65ans. On leur connaît dix enfants nés à Marquise entre 1840 et 1860.
Cette descendance est décrite dans la section qui suit.
Le deuxième enfant du couple Dagbert-Pouilli est Pierre Joachim Dacbert né à Marquise en 1814 (avec Jean Pierre Herbez, 26ans, militaire réformé et Jacques Cocquerel, 57ans, bourrelier comme témoins à la naissance).
A la différence de son père et de son frère aîné, il n’est pas maçon
mais plutôt tailleur de pierres, un métier en pleine expansion à
Marquise à cette époque avec l’ouverture de plusieurs carrières de
marbre. En 1839, il épouse à Marquise Marie Louise Joséphine Julie Magnier, lingère de 18ans, fille de Pierre Jacques Antoine Magnier, cordonnier et Reine Laurent (Les
témoins sont Antoine Dagbert, 28 ans, maçon à Marquise, frère du
contractant; Jacques André Regnier, 23 ans, cordonnier à Rety, ami du
contractant, Pierre Marie Bertin, 33ans, maître carrier, et Louis Marie
Leporcq, 25ans, greffier, amis de la contractante. Signatures des
contractants: J.Dagbert et Joséphine Magnier, des parents de la
contractante : Magniez et Reine Laurent et des témoins : Dagbert
Antoine, Regnier, Bertin et Leporcq ainé. La mère du contractant ne
signe pas). Le couple reste à Marquise où Joachim est tailleur
de pierre puis « maître de carrières » à partir de 1864 et jusqu’à son
décès à 56ans en 1870 (déclaré par François Bertin, 48ans, carrier et Louis Taverne, 53ans, marchand de fers).
Joséphine déménage à Boulogne avant 1889 et s’éteint, rentière, à
78ans, en 1900, à son domicile de la rue Porte Neuve. On leur connaît
huit enfants, tous des garçons, nés À Marquise entre 1840 et 1860.
Cette descendance est décrite dans une section qui suit.
La sœur cadette d’Antoine François et Pierre Joachim, Marie Geneviève Catherine Dagbert, née à Marquise en 1824 (avec Pierre Marmin, 22ans, maçon et Charles Fermant, 30ans, huissier comme témoins à la naissance) et couturière à Marquise en 1850 quand elle y épouse Jean Michel Allain,
peintre en bâtiments de 38ans originaire de Paris, fils de feu
Jean Barthélémy Allain et Marie Clotilde Charpentier, sans
profession, domiciliée à Paris, Blvd de l'Hôpital ( Les témoins
sont Jacques Magnier, 62 ans, cordonnier à Marquise, Antoine Guilbert,
40 ans, mécanicien à Marquise, tous deux amis de l'époux; Antoine
Dagbert, 38 ans, maçon à Marquise, et Joachim Dagbert, 36 ans, carrier
à Marquise, tous deux frères de l'épouse. Signatures des époux et des
témoins. La mère de l'épouse ne signe pas. La mère de l'époux donne son
consentement par acte notarié). Le couple a un enfant prénommé
Cyrille Auguste Michel l’année suivante. Ils apparaissent avec leur
enfant nouveau-né dans le recensement de Marquise de 1851 sur la rue de
Hollande où Jean Michel est ajusteur. Par la suite on perd leur trace.
Le sixième et avant-dernier enfant du couple Dagbert-Hiance est François Augustin Dacbert baptisé à Marquise en 1789 (avec
des jeunes gens de la paroisse comme parrain et marraine soient Jean
Dominique François Lavoine et Marie Anne Françoise Antoinette Noel).
Dès1809, il est maçon à Marquise comme son père et son frère aîné
Antoine François quand il témoigne au mariage de ce même frère. En
1812, il est toujours maçon à Marquise quand il y épouse Marie Aldegonde Liévine Way,
22ans, native de Nouvelle-Église mais domiciliée à Marquise, fille de
Pierre Philippe Way, huissier à Audruicq, et feue Marie Pétronille
Caumartin (Les témoins sont Antoine Dagbert, maçon, 24 ans,
frère de l'époux; Pierre Vigneron, charron, 49 ans, ami de l'époux,
tous deux de Marquise; Louis (Hamon?), aubergiste, 30 ans, et Jean
Louis Moreau, secrétaire de mairie, 21 ans, tous deux amis de l'épouse
à Marquise. Signatures du père de l'épouse et des témoins. Les époux et
la mère de l'époux ne signent pas). Le couple Dagbert-Way
réside à Marquise, essentiellement sur la rue de Hollande, où François
Augustin est maçon jusqu’à son décès à 83ans, en 1872 (déclaré par Philippe Kern. 61ans, cabaretier et Louis Taverne,54ans, marchand de fers). Son épouse s’était éteinte beaucoup plus tôt, à 55ans, en 1845 (décès déclaré par Jean Baptiste Deseille, 50ans, cafetier, et Zéphirin Magnier, 44ans, propriétaire). Ils ont dix enfants, tous nés à Marquise entre 1813 à 1829. Cette descendance est décrite dans une section qui suit.
Le dernier enfant du couple Dagbert-Hiance est Marie Madeleine Anne Dagbert, baptisée à Marquise en 1792 (avec
Nicolas Henry « anglois jeune homme de Londres, capitale d'Angleterre »
comme parrain et Marie Françoise Anne Poidevin comme marraine). Elle décédé à 33ans, en 1825, célibataire et couturière chez sa mère sur la rue Ledequent à Marquise.
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